Note [7]
Comme s’il savait sa position de plus en plus indéfendable, le latin de Jean ii Riolan s’embrouillait curieusement quand il dissertait sur la circulation sanguine. Si on le traduit avec beaucoup de bienveillance, il jugeait impossible de ligaturer les veines sus-hépatiques, ainsi que Jean Pecquet disait être parvenu à le faire dans le dernier paragraphe du chapitre ii de sa Dissertatio anatomica (v. sa note [11]).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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