Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
4e de cinq parties

Note [9]

Les réponses autoritaires et humorales du Clypeus à deux extraits de la même page 14 de Charles Le Noble ne voulaient pas ignorer que les artères répandaient un sang chargé des deux biles, noire et jaune, supposées toxiques pour les tissus, dans la totalité du corps, et pas seulement dans la rate et le foie qui étaient censés les extraire : une explication extravagante écartait ce danger.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
4e de cinq parties, note 9.

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(Consulté le 14/12/2025)

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