Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
3e de cinq parties
Note [4]
En l’exposant dans un épouvantable latin, qui n’avait d’égal que celui de Jean Pecquet, l’argumentation de Guillaume de Hénaut consistait généralement à pousser les raisonnements de Charles Le Noble jusqu’aux conclusions les plus absurdes : soit ici jusqu’à attribuer la fonction d’un organe aux vaisseaux qui l’irriguent.
V. note [15], appendice de la réponse que Jean ii Riolan a faite à Le Noble, pour la sanguification assurée par les veines du foie, imaginée par Jacobus Schegkius en 1580.