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Exode (20:4‑5, latin de la Vulgate) : Non facies tibi sculptile, neque omnem similitudinem quæ est in cælo desuper, et quæ in terra deorsum, nec eorum quæ sunt in aquis sub terra. Non adorabis ea, neque coles : ego sum Dominus Deus tuus fortis, zelotes, visitans iniquitatem patrum in filios, in tertiam et quartam generationem eorum qui oderunt me. Une menace couve clairement sous cet emprunt de Jean Pecquet aux Écritures, à l’intention de ceux qui voudraient lui voler la primeur de sa découverte. Écrivant en 1651, il voyait juste car dès l’année suivante Jan van Horne, anatomiste de Leyde, a publié avoir trouvé les voies du chyle, sans même citer Pecquet (v. note [49], lettre de Sebastianus Alethophilus à Jean Pecquet). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Experimenta nova anatomica (1651) Chapitre ii, note 2. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0012&cln=2 (Consulté le 08/12/2025) |