Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre i, note 5.
Note [5]

Toutes les expériences que Jean Pecquet (après plusieurs autres auteurs) présentait dans ce chapitre reproduisaient celles que William Harvey avait publiées dans son Exercitatio anatomica de Motu Cordis et Sanguinis in animalibus [Essai anatomique sur le mouvement du cœur et du sang chez les animaux] (Londres, 1628, vnote Patin 12/177). En 1651, la circulation harvéenne était encore loin d’avoir convaincu toute l’Europe savante, essentiellement parce qu’il y manquait la démonstration anatomique des capillaires, qui n’était encore que fonctionnelle (v. note [2], Dissertatio anatomica, chapitre v).

Dans le chapitre suivant, Pecquet allait magistralement en appliquer le principe à l’écoulement du sang dans les viscères digestifs.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre i, note 5.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0021&cln=5

(Consulté le 10/12/2025)

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