| Note [6] |
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Le sang venu de ces viscères provoquait la dilatation de la veine mésentérique (ou mésaraïque supérieure) et de la veine splénique. Privée de ses deux racines principales et sans reflux venant du foie, la veine porte s’était au contraire affaissée. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre ii, note 6. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0022&cln=6 (Consulté le 09/12/2025) |