Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre vii, note 3.
Note [3]

Dans cette autre expérience triviale, le seul phénomène qui m’aurait semblé mériter une remarque est l’immobilité de la veine stagnante, sans transmission des ondées systoliques, qui ne franchissent pas la barrière capillaire ; mais Jean Pecquet voulait prouver, sans vraiment y parvenir, que les artères se vident très rapidement dans les veines après la mort. Tout son paragraphe sur la systole ne pouvait convaincre personne de quelque découverte que ce soit, mais la suite est plus originale.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre vii, note 3.

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(Consulté le 10/12/2025)

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