| Note [13] |
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Le vide et non quelque hypothétique attraction (semblable à celle d’un aimant) provoquait les effets de la chaleur que Jean Pecquet avait observés sur le thermomètre, les ventouses et l’éolipyle. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre ix, note 13. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0029&cln=13 (Consulté le 08/12/2025) |