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V. notes Patin 10/8143 pour la lipothymie, et 14/554 pour la syncope et la mort subite. Dans ce chapitre, Jean Pecquet a échafaudé sur la circulation sanguine harvéenne, mais sans être armé pour justifier sa rêverie avant-gardiste sur la vasoconstriction et sur les forces qui font revenir le sang dans le cœur, en dépit de ses solides connaissances en anatomie et en dynamique des fluides. Bien après lui, il a été progressivement découvert :
J’admire néanmoins que Pecquet se soit si hardiment exposé aux attaques de ses contradicteurs. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre x, note 8. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0030&cln=8 (Consulté le 08/12/2025) |