| Note [4] |
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V. infra notes [7] et [14] pour la justification de cette parenthèse ironique, qui renvoyait Jean ii Riolan à sa conception de la circulation sanguine, qu’il admettait dans les grands vaisseaux (aorte et veines caves), mais niait dans les viscères mésentériques (contenus dans le péritoine). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Nova de thoracicis lacteis Dissertatio (1654) Expérience iii, note 4. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0044&cln=4 (Consulté le 09/12/2025) |