| Note [7] |
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V. supra note [4] pour l’ironie de Jean Pecquet sur le fait que Jean ii Riolan était tout de même forcé de croire en partie à la circulation sanguine. J’ai modernisé et rendu plus fidèle la traduction (entre guillemets) des quatre extraits que, dans le présent paragraphe Pecquet a empruntés au Discours contre la nouvelle doctrine des veines lactées de Riolan mis en français par Sauvin en 1661 (v. sa note [1]). Les autres citations qui suivent sont aussi extraites de ce Discours. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Nova de thoracicis lacteis Dissertatio (1654) Expérience iii, note 7. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0044&cln=7 (Consulté le 09/12/2025) |