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« La victoire te rendra égal aux dieux. » En en gommant l’athéisme épicurien de Lucrèce, ce latin imite La Nature des choses (v. note Patin 131/166), livre i, vers 178‑179 : Quare religio pedibus subiecta vicissim Jean ii Riolan était le plus acerbe des « vieillards jaloux » qui s’attaquaient à Jean Pecquet. Samuel Sorbière encourageait son ami à poursuivre ses travaux sur les voies du chyle, mais en laissant entendre que leur interprétation ne l’avait pas encore entièrement convaincu. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Samuel Sorbière, alias Sebastianus Alethophilus (1654), note 3. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0049&cln=3 (Consulté le 08/12/2025) |