Texte : Hyginus Thalassius (1654)
alias Pierre De Mercenne,
Brevis Destructio de la
première Responsio (1652)
de Jean ii Riolan (1654) :
chapitre v, note 1.
Note [1]

V. note [7], Brevis Destructio, chapitre iv, pour la thèse que Pierre De Mercenne a présidée sur le même sujet en 1661. Elle ne mentionne ni le chyle ni les lactifères, et conclut :

Noua non sunt in hominis cæterorumque animantium fabrica, quæ simul cum mundo incœpere ; nec rejicienda venit doctrinæ nouitas, quæ antiquam methodum clariùs explicat et illustrat. Lux luci, veritas veritati inimica non est.

Ergo Hippocratis medendi Methodus posterorum inuentis mutari potest.

[La structure de l’homme et des autres animaux n’est pas nouvelle, elle a commencé avec le monde ; et la nouveauté ne doit pas mener à rejeter la doctrine, elle explique mieux l’ancienne méthode et l’éclaire. La lumière n’est pas ennemie de la lumière, ni la vérité de la vérité.

Les découvertes faites pas ceux qui ont suivi Hippocrate ne peuvent donc pas changer la méthode qu’il a établie pour remédier].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Hyginus Thalassius (1654)
alias Pierre De Mercenne,
Brevis Destructio de la
première Responsio (1652)
de Jean ii Riolan (1654) :
chapitre v, note 1.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0054&cln=1

(Consulté le 08/12/2025)

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