| Note [2] | |
« Ce que nous découvrons pour la première fois n’est-il pas merveilleux ? Que de faits ne juge-t-on pas impossibles avant de les avoir constatés ? La puissance et la majesté de la nature surpassent à tout moment notre croyance, quand l’esprit n’en considère que les parties, sans en voir le tout » ; Pline l’Ancien, loc. cit., Littré Pli, volume 1, page 280 :
Quis enim Æthiopias, antequam cerneretn credidit ? aut quid non miraculo est, quum primum in notitiam venit ? Quam multa fieri non posse, priusquam sint facta, judicantur ! Naturæ vero rerum vis atque majestas in omnibus momentis fide caret ; si quis modo partes ejus ac non totam complectatur animo. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Hyginus Thalassius (1654) alias Pierre De Mercenne, Brevis Destructio de la première Responsio (1652) de Jean ii Riolan (1654) : chapitre v, note 2. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0054&cln=2 (Consulté le 08/12/2025) |