Texte : Thomas Bartholin
Historia anatomica
sur les lactifères thoraciques (1652)
chapitre i, note 4.
Note [4]

Ma traduction n’est qu’une interprétation plausible du latin de Thomas Bartholin : pour m’y être souvent frotté, je sais qu’il lui arrive de devenir impénétrable tant sa syntaxe peut être tortueuse, son vocabulaire boiteux et ses élisions déroutantes.

Strictement interdite par les religions de l’Antiquité (sauf pendant une courte période du iiie s. av. J.‑C., à Alexandrie) et du Moyen Âge (dont l’islam), la dissection anatomique humaine a été pratiquée en Europe à partir du xiiie s.

En 1652, les trois récentes découvertes anatomiques majeures que Bartholin avait en tête étaient celles des lactifères mésentériques (Gaspare Aselli, 1627) et de la circulation sanguine (William Harvey, 1628), et celle, toute récente, des lactifères thoraciques (Jean Pecquet, 1651).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Thomas Bartholin
Historia anatomica
sur les lactifères thoraciques (1652)
chapitre i, note 4.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1021&cln=4

(Consulté le 07/12/2025)

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