| Note [3] |
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Tous ces transferts de la partie séreuse (lymphe) du chyle, depuis son collecteur lombaire vers les reins, les surrénales ou le péritoine, dont Thomas Bartholin ne procurait aucune démonstration, se sont avérés fictifs. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre viii, note 3. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1028&cln=3 (Consulté le 08/12/2025) |