| Note [4] |
|
Ce commentaire de Guillaume de Hénaut sur l’autre citation qu’il a aussi tirée de la page 13, montre surtout qu’il n’a pas vu et corrigé l’erreur flagrante de Charles Le Noble (v. supra note [3]) pour comprendre ce qu’il voulait dire : il pensait naïvement et à tort qu’une partie du chyle laiteux mésentérique gagnait le foie, tandis qu’une autre montait dans le cœur, ce qui justifiait une capacité des lactifères thoraciques moindre que celle des mésentériques. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Clypeus de Guillaume de Hénault, alias Jean Pecquet (1655), 4e de cinq parties, note 4. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1044&cln=4 (Consulté le 11/12/2025) |