| Note [2] |
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Sous la plume d’un médecin, l’adjectif gréco-latin « apotropéen » (αποτροπαιος, apotropæus) désigne plutôt un médicament alexipharmaque (contrepoison, v. note Patin 20/164) qu’un dieu qui, dans l’Antiquité, détournait ses adorateurs des maux qui les menaçaient. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), 2. Avertissement au lecteur, note 2. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1051&cln=2 (Consulté le 09/12/2025) |