Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
2. Avertissement au lecteur, note 4.
Note [4]

« Je ne suis pas si affreux ; j’ai naguère sur le rivage vu mon reflet dans la glace d’une mer d’huile : le miroir ne trompe pas et je ne crains pas d’être insulté par trois ennemis » ; emprunt à Virgile (Bucoliques, églogue ii, vers 25‑27), dont Riolan a adapté la fin à son propos :

                                         Daphnin
iudice te metuam, si numquam fallit imago
.

[je ne crains par, Daphnis, en te prenant pour juge, d’être jamais trompé par le miroir].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
2. Avertissement au lecteur, note 4.

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(Consulté le 08/12/2025)

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