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« Je ne suis pas si affreux ; j’ai naguère sur le rivage vu mon reflet dans la glace d’une mer d’huile : le miroir ne trompe pas et je ne crains pas d’être insulté par trois ennemis » ; emprunt à Virgile (Bucoliques, églogue ii, vers 25‑27), dont Riolan a adapté la fin à son propos :
Daphnin |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), 2. Avertissement au lecteur, note 4. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1051&cln=4 (Consulté le 08/12/2025) |