| Note [10] |
|
Ce passage est traduisible si on y admet une erreur d’imprimerie (Veruinam pour Virbinam) et si on y devine le vers 887 des Bacchides de Plaute : si tibi est machaera, at nobis veruina est domi [si tu as une épée à la maison, nous avons une longue javeline]. Les propos fort désobligeants à l’encontre de Jean ii Riolan sont un florilège d’insultes qu’il a recueillies dans l’Avertissement au lecteur de ses Responsiones duæ. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 1re de 6 parties, note 10. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1054&cln=10 (Consulté le 08/12/2025) |