Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 10.
Note [10]

Ce passage est traduisible si on y admet une erreur d’imprimerie (Veruinam pour Virbinam) et si on y devine le vers 887 des Bacchides de Plaute : si tibi est machaera, at nobis veruina est domi [si tu as une épée à la maison, nous avons une longue javeline].

Les propos fort désobligeants à l’encontre de Jean ii Riolan sont un florilège d’insultes qu’il a recueillies dans l’Avertissement au lecteur de ses Responsiones duæ.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
1re de 6 parties, note 10.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1054&cln=10

(Consulté le 08/12/2025)

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