Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 14.
Note [14]

« Quelle gloire insigne, quel ample butin vous rapportez là, vous et votre associé, quand vous avez voulu être une oie qui cacarde parmi les cygnes ! » Jean ii Riolan empruntait son estocade à deux vers de Virgile :

  • Énéide, chant iv, vers 93-94, paroles de Junon à Vénus, mère de Cupidon, après que Didon est tombée follement amoureuse d’Énée,

    Egregiam verò laudem et spolia ampla refertis
    Tuque puerque tuus, magnum et memorabile nomen
     ;

    [Quelle gloire insigne, quel ample butin vous rapportez là, toi et ton fils, quel grand et mémorable exploit !]

  • Bucoliques, ix, fin du vers 36, sed argutos inter strepere anser olores [mais je suis une oie qui cacarde parmi les cygnes raffinés] (vnote Patin 19/9014).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 14.

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(Consulté le 11/12/2025)

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