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« afin que reste à l’artisan un recours pour obtenir le pardon et corriger », Pline l’Ancien sur les peintres et sculpteurs grecs qui n’étaient jamais satisfaits de leurs œuvres : Histoire naturelle, livre i, mais la traduction donnée par Littré Pli (volume 1, page 4) n’est pas suffisamment littérale à mon goût. Jean ii Riolan a recouru à cette même citation dans l’Antiqua Præfatio [Ancienne préface] de son Anthropographie (Paris, 1649, page ē iij vo) pour inciter les savants qui le liront à lui transmettre leurs avis sur son travail. Il entamait ici une longue diatribe sur ses Animadversions anatomiques, dont Hyginus Thalassius lui avait reproché le nombre et la dureté dans le chapitre i de sa Brevis Destructio, pages 182‑183. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 5e de 6 parties, note 22. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1058&cln=22 (Consulté le 11/12/2025) |