| Note [26] |
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Les « ignorants novateurs » étaient Jean Pecquet et Pierre De Mercenne, et un des « vieux renards » était Jacques Menel. Quant à lui, Jean ii Riolan se targuait d’être à la fois doyen d’âge du Collège de France et de la Faculté de médecine de Paris. Cela lui conférait une autorité morale dont il exagérait un peu l’importance : aucune de ces deux compagnies n’a eu le pouvoir officiel de censurer les « pecquétiens ». V. note Patin 69/8008 pour le censeur de l’École, qui était élu par ses collègues ou désigné par le doyen, tous les deux ans, pour y veiller avec lui au respect de la discipline et la représenter dans les assemblées de l’Université. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 5e de 6 parties, note 26. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1058&cln=26 (Consulté le 11/12/2025) |