Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 30.
Note [30]

Loc. cit. (épigramme complète) :

« – J’ai plaidé ta cause au prix convenu de deux mille sesterces, Sextus, {a} mais combien m’en as-tu payé ?
– Mille.
– Et pourquoi ?
– Tu as fort mal plaidé et tu as perdu mon procès.
– Raison de plus pour me bien payer, Sextus, car tu dois me payer de ma honte. »


  1. Le titre d’avocat (causidicus) que Jean ii Riolan donnait à Sextus, est un contresens : il s’agit d’un plaideur qui parle à son avocat.

V. note [24], seconde Responsio, première partie, pour Samuel Sorbière, alias Sebastianus Alethophilus, qui, après avoir perdu son épouse et renié le calvinisme, avait obtenu la charge d’aumônier auprès de François Fouquet : Riolan pensait que c’était la récompense du service qu’il avait rendu à Jean Pecquet en lui écrivant une lettre de soutien pour sa découverte.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 30.

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(Consulté le 11/12/2025)

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