| Note [4] |
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Jean ii Riolan étalait son savoir avec ses « jeûneurs monosites », dont le nom s’explique par le verbe grec μονσιτειν, monositein, « manger une seule fois par jour ». Son argument n’est pas faux car l’absence de chyle provoquée par le jeûne n’est mortelle qu’après plusieurs semaines. Tout ce paragraphe est pourtant difficile à comprendre car il se fonde sur la manière compliquée dont Riolan concevait la circulation et invoque des notions que la physiologie moderne a entièrement abandonnées. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 5e de 6 parties, note 4. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1058&cln=4 (Consulté le 11/12/2025) |