| Note [43] | |
« il sera dépouillé des couleurs qu’il a dérobées », Horace, Épîtres, i, iii, vers 18‑20 : […] si forte suas repetitum venerit olim En remplaçant le geai par la corneille, {a} Horace s’inspirait d’une fable d’Ésope : {b} « Le geai se voyant paré des plumes de tous les autres oiseaux, se vantait d’être plus beau qu’eux ; mais l’hirondelle étant venue reprendre ce qui lui appartenait, et tous les autres oiseaux ayant suivi son exemple, le pauvre geai se trouva tout nu. Le sens de la fable est que les beautés empruntées ne durent pas longtemps. » {c} |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 5e de 6 parties, note 43. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1058&cln=43 (Consulté le 11/12/2025) |