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En disant qu’elles n’ont nihil faciunt ad rhombum, « rien à voir avec un turbot » (dans une traduction plus littérale,v. note Patin 7/514), Jean ii Riolan marquait son complet désintérêt pour les ingénieuses expériences de physique rapportées dans les chapitre viii‑ix de la Dissertatio anatomica. Riolan a brièvement abordé ici, mais développé dans une section séparée, son analyse des chapitres i‑v de la Dissertatio anatomica qui traitent des opinions de Jean Pecquet sur la circulation sanguine. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Première Responsio (1652) aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1651). 4. Critique des chapitres xi-xii de la Dissertatio anatomica, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1003&cln=1 (Consulté le 01/05/2025) |