| Note [10] |
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Depuis l’Antiquité jusqu’au milieu du xxe s. qui les a mises au rebut, les ventouses (v. note [4], résumé de la Dissertatio anatomica) ont été employées de multiples façons. Celle dont Jean Pecquet explique ici les mécanismes était la plus communément utilisée de son temps : on enflammait un morceau d’étoupe attaché au fond de la petite cloche de verre, dont on appliquait fermement la base sur la peau ; le vide relatif créé par la flamme l’éteignait rapidement et provoquait une saillie de la chair circonscrite par la ventouse. Dans les années 1770, les « esprits ignés » de l’air sont devenus l’oxygène. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre ix, note 10. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0029&cln=10 (Consulté le 13/11/2025) |