Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
3e de cinq parties, note 10.
Note [10]

Dans la dernière phrase de son argumentation, que j’ai plutôt interprétée que traduite, tant son latin est confus, Guillaume de Hénaut a exposé le raisonnement de Jean Pecquet, mais en passant par inadvertance du futur (evincet, « évincera ») à l’indicatif (evincit, « évince »), ce qui donne une raison de plus pour penser que ce n’était pas lui, mais bien Pecquet qui rédigeait le Clypeus. Tel est à mes yeux le seul intérêt de cette discussion abracadabrante sur la taille du foie humain, qui n’est plus aujourd’hui qu’une curiosité historique ; et la suite va sortir du même tonneau.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
3e de cinq parties, note 10.

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(Consulté le 29/04/2025)

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