Note [12] | |
En s’y référant de travers, Jean ii Riolan puisait sans ordre dans quatre des huit paragraphes du chapitre ii, livre iv des Parties des animaux (Jules Barthélemy-Saint-Hilaire, 1885) : « [§ 6] Les animaux chez lesquels la constitution du foie est saine et chez lesquels la partie du sang qui, par la sécrétion, se rend dans le foie, est naturellement douce, ne retiennent pas du tout de bile dans le foie, ou n’en ont que dans quelques petites veines ; ou bien les uns en ont, tandis que les autres n’en ont pas. Aussi, les foies de ceux qui n’ont pas de bile sont d’une belle couleur et d’un goût agréable, du moins le plus ordinairement ; et dans ceux qui ont de la bile, la partie du foie la plus douce au goût est précisément celle qui est sous la bile. […] |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), seconde Responsio aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1654) 3. Première partie, note 12. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1052&cln=12 (Consulté le 18/04/2025) |