Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre xi, note 21.
Note [21]

Les très légitimes ricanements de Jean ii Riolan (v. note [27], 3e partie de sa première Responsio, parue en 1652) ont conduit Jean Pecquet à supprimer en 1654, la dernière proposition qu’il y avait écrite en 1651 (page 84) :

[…] instar incerniculi translocando sero idoneus ; vel si mavis Atrabilarium, quæ adjacent, Capsularum ; vel Peritonæi, cujus ob partium vicinam non parum devehendis obnoxia duplicatura liquoribus, ministerio divertere.

[(…) dont la paroi ressemble à une trémie qui convient au passage du sérum ; ou si tu préfères, par les capsules atrabilaires qui le jouxtent, ou par le péritoine qui, en raison de ses liens étroits avec les viscères n’a pas pour moindre fonction d’évacuer les liquides qui s’accumulent dans ses replis].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre xi, note 21.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0031&cln=21

(Consulté le 14/05/2025)

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