Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
4. Critique des chapitres xi-xii
de la Dissertatio anatomica, note 22.
Note [22]

À savoir par les veines axillaires (subclavières quand existent des clavicules) et la veine cave supérieure : Jean ii Riolan n’admettait pas que la pression exercée par les muscles respiratoires dans l’abdomen et dans le thorax puisse y faire mouvoir le chyle, et allait recourir à toute la mauvaise foi dont il était capable pour prouver que c’était impossible.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
4. Critique des chapitres xi-xii
de la Dissertatio anatomica, note 22.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1003&cln=22

(Consulté le 30/04/2025)

Licence Creative Commons