Note [32] | |
« à cause des er-reu-rs qu’il contient ». Jean ii Riolan empruntait à l’Examen du livre intitulé Remontrances et Conclusion des gens du roi et arrêt de la Cour de Parlement du vingt-sixième novembre m.d.c.x. attribué faussement à Monsieur Servin, {a} conseiller du roi en son Conseil et son avocat en la Cour de Parlement de Paris, comme ayant été faite en ladite Cour sur le livre du cardinal Bellarmin, {b} pour montrer les ignorances, impertinences, faussetés et prévarication qui se trouvent presque en toutes les pages (sans lieu ni nom, 1611, in‑8o), {c} pages 26‑27 : « Nous commencerons à remarquer les passages de ce livre, duquel la première lettre est un R, qui est arrivé fort à propos, et triplant cette lettre nous l’appellerons justement un livre à trois R, pour lui mettre en front ce distique et éloge convenable à son mérite.R. Habet Ausonium liber hic, habet atque Pelasgum, |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), seconde Responsio aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1654) 3. Première partie, note 32. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1052&cln=32 (Consulté le 18/04/2025) |