Note [38] |
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L’argument est obscur et malvenu car la circulation harvéenne n’a jamais nié que la veine porte conduit le sang vers le foie, ce qui lui vaut son nom et est, il est vrai, une exception de taille à la règle établissant que les veines mènent au cœur. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Première Responsio (1652) aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1651). 4. Critique des chapitres xi-xii de la Dissertatio anatomica, note 38. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1003&cln=38 (Consulté le 30/04/2025) |