Note [4] |
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En l’exposant dans un épouvantable latin, qui n’avait d’égal que celui de Jean Pecquet, l’argumentation de Guillaume de Hénaut consistait généralement à pousser les raisonnements de Charles Le Noble jusqu’aux conclusions les plus absurdes : soit ici jusqu’à attribuer la fonction d’un organe aux vaisseaux qui l’irriguent. V. note [15], appendice de la réponse que Jean ii Riolan a faite à Le Noble, pour la sanguification assurée par les veines du foie, imaginée par Jacobus Schegkius en 1580. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Clypeus de Guillaume de Hénault, alias Jean Pecquet (1655), 3e de cinq parties, note 4. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1043&cln=4 (Consulté le 22/04/2025) |