Texte : Jean Pecquet
Experimenta nova anatomica (1651)
Chapitre v, note 6.
Note [6]

On reprochait volontiers aux médecins (et plus encore aux philosophes) de disserter sur l’anatomie sans avoir pris la peine de disséquer eux-mêmes, en se contentant des leçons et des livres de maîtres qui n’avaient pas non plus toujours beaucoup manié le scalpel.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Experimenta nova anatomica (1651)
Chapitre v, note 6.

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(Consulté le 08/12/2025)

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