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Du sang proprement dit ne s’épanche dans les tissus qu’après une rupture vasculaire, spontanée ou traumatique. Les phénomènes que Jean Pecquet mettait en avant sont les effets visibles de la vasomotricité qui est assurée par les petites artères de la peau : rougeur de la vasodilatation, pâleur de la vasoconstriction. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre v, note 12. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0025&cln=12 (Consulté le 08/12/2025) |