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Jean Pecquet se méprenait encore en dotant les veines d’un pouvoir vasomoteur : c’est la constriction des artères qui peut interrompre la circulation du sang dans un tissu. V. notes Patin 6/1446, pour l’inflammation (fluxion ou phlegmasie) et sa tétrade, dite de Celse (rougeur, gonflement, chaleur et douleur), et 14/8009, pour les phlegmons, dont la nature était tenue pour sanguine. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre v, note 13. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0025&cln=13 (Consulté le 08/12/2025) |