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« La nature a horreur du vide » est un principe aristotélicien {a} que René Descartes {b} a repris, mais que Blaise Pascal a rejeté dans la préface des ses Expériences nouvelles touchant le vide…, {c} en commentant la découverte d’Evangelista Torricelli : {d} « Cette expérience ayant été mandée de Rome au R.P. Mersenne, {e} minime à Paris, il la divulgua en France en l’année 1644, non sans l’admiration de tous les savants et curieux ; par la communication desquels étant devenue fameuse de toutes parts, je l’appris de M. Petit, intendant des fortifications et très versé en toutes les belles-lettres, qui l’avait apprise du R.P. Mersenne même. Nous la fîmes donc ensemble à Rouen, ledit sieur Petit et moi, de la même sorte qu’elle a été faite en Italie, et trouvâmes de point en point ce qui avait été mandé de ce pays-là, sans y avoir pour lors rien remarqué de nouveau. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre ix, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0029&cln=1 (Consulté le 08/12/2025) |