| Note [15] |
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« Éolipylaire » est ma traduction néologique de l’adjectif æolipilaris, néolatinisme savant que je n’ai vu que sous la plume de Jean Pecquet. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre ix, note 15. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0029&cln=15 (Consulté le 08/12/2025) |