| Note [16] |
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Jean Pecquet sous-entend par l’adverbe subito que, pour la réussite de l’expérience, le transfert doit être immédiat : la queue de l’éolipyle a beau avoir un canal très fin, il ne faut pas l’exposer plus d’un très bref instant à l’air ambiant si on veut éviter qu’il ne soit aspiré dans la machine ; le mieux devait être de la laisser directement tomber, queue en bas, dans une bassine d’eau que l’expérimentateur avait placée juste au-dessous de sa bouche. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre ix, note 16. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0029&cln=16 (Consulté le 08/12/2025) |