Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre ix, note 9.
Note [9]

Jean Pecquet voulait prouver que la chaleur dilate à la fois l’air et l’eau (que le calibre très fin du tube rend visible), mais convenait que, dans sa curieuse expérience, la descente de l’eau en suspension dans le tube était inconstante.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli
(1651)
Chapitre ix, note 9.

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(Consulté le 08/12/2025)

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