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Jean Pecquet résumait ce qu’il estimait avoir précédemment prouvé dans sa Dissertatio anatomica : chapitre vi sur le poids du sang et l’effet de siphon, chapitre vii sur les effets de la systole et de la diastole, et chapitres viii et ix sur l’inexistence hydraulique et pneumatique de l’attraction. Il poussait ici l’audace jusqu’à introduire la notion de contraction des vaisseaux (vasoconstriction) sous l’effet de leur propre musculature ou de la pression que les structures environnantes exercent sur eux. Alors théorique et nouvelle, la vasomotricité (qui inclut la vasodilatation) n’a été démontrée, sous le nom de vasomotion, qu’en 1852 par le physiologiste écossais Thomas Wharton Jones (1806-1891). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre x, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0030&cln=1 (Consulté le 10/12/2025) |