| Note [7] |
|
Dans son acharnement à convaincre le lecteur de son raisonnement inédit, Jean Pecquet entremêlait bizarrement trois phénomènes : l’expiration forcée à glotte fermée, autrement nommée manœuvre de Valsalva (décrite en 1704 pour se déboucher les oreilles, mais à laquelle chacun recourt instinctivement depuis la nuit des temps, entre autres pour pour déféquer, v. note [10], Dissertatio anatomica, chapitre xi) ; la polypnée et la tachycardie que tout effort musculaire soutenu provoque banalement ; l’absence de sang dans les artères après la mort (ici supposée liée aux soubresauts de l’agonie). |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre x, note 7. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0030&cln=7 (Consulté le 09/12/2025) |