| Note [7] |
|
En laissant de côté la manière, alors hypothétique, dont le sang passe des artères dans les veines (découverte des capillaires par Marcello Malpighi en 1661, v. note [2], Dissertatio anatomica, chapitre v), Adrien Auzout résumait les principaux arguments qui entretenaient encore le doute sur la circulation du sang, et prenait résolument parti dans la très chaude controverse médicale qu’elle avait engendrée sur le bien-fondé de la saignée (dont Jean ii Riolan était un des plus fervents partisans, v. notamment la note Patin 18/8009). |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Adrien Auzout (1651), note 7. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0048&cln=7 (Consulté le 08/12/2025) |