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Déjà auteur d’une lettre de soutien à Jean Pecquet imprimée dès la première édition des Experimenta nova anatomica (1651), Pierre De Mercenne se dissimulait sous le nom d’Hyginus Thalassius Sangermanus. {a} Ce pseudonyme me semble combiner trois mots.
En somme, je traduirais Hyginus Thalassius Sangermanus par « le pur et innocent adepte de la santé (ou mythographe), natif de Saint-Germain (ou habitant le faubourg Saint-Germain, à Paris) ». Je n’ai pas identifié Iatrophilus Pecquetianus, dont le nom signifie le « pecquétien [admirateur de Pecquet] qui aime la médecine », car dans sa Brevis Destructio, De Mercenne a nommé tous ceux qui avaient écrit en faveur de Pecquet avant 1654. Riolan a considéré qu’il s’agissait de Mentel : v. note [9] de sa Responsio ad Pecquetianos, première partie. Le latin de De Mercenne est truffé de références classiques (dont il a souvent donné la source). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Hyginus Thalassius (1654) alias Pierre De Mercenne, Brevis Destructio de la première Responsio (1652) de Jean ii Riolan (1654) : chapitre i, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0050&cln=1 (Consulté le 08/12/2025) |