Texte : Hyginus Thalassius (1654)
alias Pierre De Mercenne,
Brevis Destructio de la
première Responsio (1652)
de Jean ii Riolan (1654) :
chapitre iii, note 26.
Note [26]

Traité cité de Jean ii Riolan (Paris, 1652, v. supra note [6]), page indiquée, fin du chapitre intitulé In Circulatione Sanguinis Hippocratica quædam dubia resoluuntur [Certains doutes sur la circulation hippocratique du sang sont levés], sur les vivisections et les ligatures veineuses suivies d’incisions en aval et en amont du lien :

« Ces expériences devront être menées pour explorer et connaître la vérité des faits ; mais la dissection des animaux vivants est pénible, laborieuse et difficile, car le jaillissement du sang brouille tout et rend l’expérience inutile. »

À quoi Riolan ajoute quod etiam fatetur Harveus, « comme Harvey en convient aussi » : Riolan a en effet emprunté une partie du latin de Harvey, sanguinis effusio omnia perturbat, et irritum facit experimentum, dans son Exercitatio altera ad Ioannem Riolanum (Paris, 1650), 3e paragraphe, page 33.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Hyginus Thalassius (1654)
alias Pierre De Mercenne,
Brevis Destructio de la
première Responsio (1652)
de Jean ii Riolan (1654) :
chapitre iii, note 26.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0052&cln=26

(Consulté le 08/12/2025)

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