Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
2. Critique des chapitres i‑v
des Experimenta nova anatomica, note 11.
Note [11]

V. note [2], Experimenta nova anatomica, chapitre ii, pour le commentaire de ce passage emprunté à Jean Pecquet, où le « vigoureux Jaloux » désigne Dieu dans l’Exode.

Vnote Patin 48/8211 pour Suffenus, modèle romain du poète infatué de lui-même dans Catulle.

La Souda {a} contient cet article sur Astydamas l’Ancien, poète tragique grec du ve s. av. J.‑C. (traduit partiellement de l’anglais) :

« Astydamas, fils de Morsimus, ayant remporté la palme avec sa tragédie Parthenopæus, les Athéniens lui accordèrent le droit de dédicacer son effigie dans le théâtre. Il composa cette prétentieuse inscription sur sa propre personne :

“ Que ne suis-je né à la même époque que ceux qui passent pour être nos maîtres en poésie, ou que ne sont-ils mes contemporains ! car en vérité on jugerait que je leur suis bien supérieur ; mais maintenant ils l’emportent, grâce au temps qui les protège contre l’envie. ” » {b}


  1. Vnote Patin 47/8201.

  2. Traduction de Fr. Jacobs (1863), à partir de l’original grec, de la seule épigramme qui ait survécu de tous les vers composés par Astydamas. Son infatuation heurta les Athéniens qui la refusèrent et condamnèrent son auteur à une forte amende. Le poète comique Philémon en a fait ce vers proverbial : Σαυτην επαινεις, ωστερ Αστυδαμας, γυναι [Se louer soi-même comme Astydamas].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
2. Critique des chapitres i‑v
des Experimenta nova anatomica, note 11.

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(Consulté le 09/12/2025)

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