Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
3. Critique du chapitre vi (conclusion)
des Experimenta nova anatomica
et des Lettres de soutien, note 7.
Note [7]

Platon, Le Banquet, paroles de Socrate à Alcibiade, son jeune ami :

Αλλ’, ω μακριε, αμενον σκοπει, μη σε λανθανω ουδεν ων. Η τοι της διανοιας οψις αρχεται οξυ βλεπειν οταν η των ομματων της ακμης ληγειν επιχειρη συ δε τουτων επι πορρω.

[Bon jeune homme, regardes-y pourtant de plus près : peut-être te fais-tu illusion sur le peu que je vaux. Les yeux de l’esprit ne commencent guère à devenir plus clairvoyants qu’à l’âge où ceux du corps s’affaiblissent, et cette époque est encore bien lointaine pour toi].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
3. Critique du chapitre vi (conclusion)
des Experimenta nova anatomica
et des Lettres de soutien, note 7.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1002&cln=7

(Consulté le 08/12/2025)

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