| Note [12] |
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Jean ii Riolan a déjà émis cette critique dans la précédente partie de sa première Responsio (v. sa note [46]). Dans tout ce développement sur la toxicité de la bile et du chyle mêlés au sang, il feignait d’adhérer à la circulation harvéenne (v. note [33], Responsio ad Pecquetianos, 4e partie), mais ce n’était que pour mieux contrer Jean Pecquet qui en était un fervent défenseur. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Première Responsio (1652) aux Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1651). 5. Discours contre la nouvelle doctrine des veines lactées, note 12. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1004&cln=12 (Consulté le 08/12/2025) |